Initiative for Responsible Mining Assurance (IRMA)

Initiative for Responsible Mining Assurance (IRMA)

Initiative for Responsible Mining Assurance (IRMA)

Date de création : 2006

Type de porteur(s) : Entreprises, ONG ou associations.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs spécifiques au secteur d’activité (minière).

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, organisations de la société civile.

Financeur(s) ou porteur(s) : AngloAmerican, Arcelor Mittal, Earthworks, First Nations Women Advocating Responsible Mining (FNWARM), Human Rights Watch,  Industrial Global Union, Jewelers of America, Material Efficiency Research Group, Microsoft, Tiffany & Co, United Steelworkers.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, déchets, droits de l’Homme, eau, industrie, pollutions.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Compensation, conservation, industries extractives, reporting, restauration.

Méthode(s) de travail : Développement de standards et d’un système de certification. Construction d’une « carte des mines responsables ».

Description : « L’Initiative for Responsible Mining Assurance rassemble entreprises minières, entreprises s’approvisionnant en ressources minières, ONG et organisations syndicales derrière une vision commune : celle d’une industrie minière respectant les droits de l’Homme et les désirs des communautés affectées, fournissant un cadre de travail sécurisé, sain et solidaire, minimisant les préjudices environnementaux et laissant une empreinte positive.

L’initiative propose de certifier la performance sociale et environnementale de sites miniers en utilisant des standards reconnus mondialement et développés en consultation avec un large panel d’acteurs du milieu. Au sein des critères du standard, la responsabilité environnementale est évaluée et un chapitre spécifique à la biodiversité, aux services écosystémiques et aires protégées a été développé. Des exigences sont requises au niveau d’études d’impact, d’atténuation de ces impacts, de gestion au niveaux des espaces protégés et de surveillance des pratiques de gestion mises en place. »

Site internet

Naturalcapital.community

Naturalcapital.community

Naturalcapital.community

Date de création : Non spécifiée, sûrement 2015.

Type de porteur(s) : ONG ou associations, institutions publiques.

Type d’engagement : Pas d’obligations.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, experts, recherche ou académiques, institutions publiques.

Financeur(s) ou porteur(s) : MVO Nederland et le gouvernement néerlandais.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, déchets, eau, économie circulaire, énergies, finance, industrie, pollutions, villes.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, compensation, conservation, intégration de la biodiversité, restauration, valorisation de la nature.

Méthode(s) de travail : Mise en place d’une plateforme réunissant défis, solutions, connaissances pour que les acteurs puissent trouver des partenaires pour relever leurs défis ou mettre en place leurs solutions.

Description : « Naturalcapital.community est une plateforme lancée par le gouvernement néerlandais et l’association MVO Nederland faisant l’intermédiaire entre entrepreneurs d’autres acteurs partageant la même vision dans le but de résoudre des défis. La plateforme est divisée entre la section concernant des défis, des solutions, des connaissances, celle qui promeut des évènements et celle qui présente les réseaux d’entrepreneurs durables. La plateforme vise donc les entrepreneurs recherchant un équilibre entre leur processus de gestion, la biodiversité et les écosystèmes.

Des experts et citoyens agissant déjà au quotidien peuvent également partager leurs vision personnelle, leurs connaissances et services. Une organisation devenant membre peut partager son défi sur la plateforme et trouver une personne ou organisation pouvant répondre à ce défi. Elle lui partage alors des idées innovantes et travaille sur des solutions pour cette organisation. »

Site internet

The Food and Land Use Coalition (FOLU)

The Food and Land Use Coalition (FOLU)

The Food and Land Use Coalition (FOLU)

Date de création : 2017

Type de porteur(s) : Entreprises, ONG ou associations.

Type d’engagement : Pas d’obligations.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, experts, recherche ou académiques, organisations de la société civile, institutions publiques, autres initiatives.

Financeur(s) ou porteur(s) : Gordon et Betty Moore Foundation, MAVA Foundation, Norway’s International Climate and Forest Initiative, Département du Développement International du Royaume-Uni.

Thématique(s) de travail : Alimentation, biodiversité, déchets, droits de l’Homme, économie circulaire, inégalités, technologies.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, conservation, océan, restauration, utilisation des terres.

Méthode(s) de travail : Développement d’outils, actions de sensibilisation, proposition d’aide au développement de stratégies politiques et économiques.

Description : « The Food and Land Use Coalition est une communauté d’organisations et d’individus engagés dans la transformation de nos façons de produire, de consommer la nourriture et la façon dont on utilise nos terres pour les hommes, la nature et le climat. Pour cela, la coalition développe des connaissances, outils et partenariats pour aider les décideurs politiques et économiques à identifier et à s’engager dans des voies de durabilité alimentaire et d’usage des terres. Ils partagent leur travail entre : plaider en faveur d’un changement rapide, aider les pays dans leur planification agricole et d’utilisation des terres ainsi que dans la refonte de leur politique et de leur marché, responsabiliser des leaders du changement dans les domaines publics, privés et de la société civile, développer des voies de transformation fondées sur la science et accélérer les mutations dans le secteur privé.

Ils ont récemment publié un rapport dénombrant 10 transitions essentielles pour transformer notre usage des terres et de la nourriture :

– Promouvoir des régimes alimentaires sains ;

– Mettre en place une agriculture intensive et régénérative ;

– Protéger et restaurer la nature ;

– Sécuriser un océan sain et productif ;

– Diversifier l’apport de protéines ;

– Réduire les pertes et déchets alimentaires ;

– Construire des boucles et réseaux locaux ;

– Exploiter la révolution digitale ;

– Apporter des moyens de subsistance plus forts en milieu rural ;

– Améliorer l’égalité des genres et accélérer la transition démographique. »

Site internet

New Plastics Economy Global Commitment

New Plastics Economy Global Commitment

New Plastics Economy Global Commitment

Date de création : 2018

Type de porteur(s) : ONG ou associations, institutions publiques.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs communs et spécifiques au secteur d’activité avec obligation de rapporter sur les progrès effectués.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, institutions publiques.

Financeur(s) ou porteur(s) : Ellen Mc Arthur Foundation, UNEP.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, déchets, économie circulaire, pollutions.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Océan, pollution plastique.

Méthode(s) de travail : Développement d’un engagement  détaillé  pour guider les signataires dans la réduction de leur pollution plastique.

Description : « Le New Plastics Economy Global Commitment est porté par Ellen McArthur Foundation et rassemble gouvernements et entreprises derrière une vision commune pour s’attaquer aux déchets et à la pollution plastique à sa source. Plus de 400 organisations sont signataires de l’engagement. Cette initiative a été réalisée en collaboration avec l’UNEP.

L’engagement promeut l’approche économique circulaire pour le plastique afin qu’il ne soit jamais un déchet, ne puisse pas dégrader l’environnement et porter atteinte au bon fonctionnement des écosystèmes. Les signataires s’engagent sur des objectifs à atteindre pour 2025 : éliminer tous les éléments plastiques problématiques et non nécessaires ; innover pour s’assurer que les plastiques dont on a besoin sont réutilisables, recyclables ou compostables ; faire circuler tous les éléments plastiques que l’on garde habituellement pour les conserver dans l’économie et en dehors de l’environnement. »

Site internet

Global Reporting Initiative (GRI)

Global Reporting Initiative (GRI)

Global Reporting Initiative (GRI)

Date de création : 1997

Type de porteur(s) : ONG ou associations.

Type d’engagement : Pas d’obligations.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, institutions publiques, organisations de la société civile.

Financeur(s) ou porteur(s) : L’ensemble des entreprises et organisations membres.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, comptabilité, déchets, droits de l’Homme, eau, économie, énergies, finance, gouvernance, industries, inégalités, santé.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Conservation, intégration de la biodiversité, reporting, restauration.

Méthode(s) de travail : Développement de standards de reporting pour les organisations, organisations de groupes de travail, aide aux organisations dans la réalisation de leur reporting.

Description : « La Global Reporting Initiative est une organisation qui a pour but d’aider les entreprises et les gouvernements du monde entier à comprendre leurs impacts et à les communiquer. L’initiative a développé des standards de reporting pour ces organisations concernant des enjeux essentiels comme la biodiversité, le changement climatique, les droits de l’homme la gouvernance, le bien-être social etc. Ces standards de reporting sur les enjeux de développement durable sont approuvés au niveau mondial et sont accessibles gratuitement depuis leur site internet. Dans l’optique de favoriser le reporting sur les enjeux de durabilité des organisations, l’initiative se concentre sur quatre enjeux pour les prochaines années :

– Créer des standards et conseils pour accélérer le développement durable des organisations ;

– Harmoniser le paysage du reporting sur les sujets de durabilité ;

– Mener des opérations de reporting de durabilité productives et efficaces ;

– Piloter l’usage efficace de l’information sur la durabilité des activités pour améliorer la performance. »

Site internet

Programme de Développement Durable à l’Horizon 2030 de l’ONU

Programme de Développement Durable à l’Horizon 2030 de l’ONU

Programme de Développement Durable à l’Horizon 2030 de l’ONU

Date de création : 2015

Type de porteur(s) : Institution publique.

Type d’engagement : Pas d’obligation

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, institutions publiques, experts, recherche ou académiques, organisations de la société civile.

Financeur(s) ou porteur(s) : Organisations des Nations Unies.

Thématique(s) de travail : Alimentation, biodiversité, climat, déchets, droit, droits de l’Homme, eau, économie, éducation, énergies, industries, inégalités, santé, villes.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, conservation, déforestation, désertification, océan, pollution plastique, restauration.

Méthode(s) de travail : Développement de 17 objectifs et de 169 cibles de développement durable, suivi et examen de ces derniers sur la base d’indicateurs, organisation de réunions annuelles pour faire un état des lieux de l’avancement et sensibiliser à l’action dans le cadre des objectifs définis.

Description : « En septembre 2015, lors du Sommet sur le développement durable organisé par l’ONU à New-York, les 193 États membres ont adopté le Programme de développement durable à l’horizon 2030 ainsi que ses 17 objectifs de développement durables (ODD). Il vise à inciter et guider les gouvernements dans la mise en œuvre de politiques contribuant à la réalisation de ces objectifs. Néanmoins, ils peuvent également être repris par tout acteur (entreprise, organisation de la société civile) souhaitant œuvrer dans le cadre du programme car ils sont globaux et applicables universellement. Trois objectifs concernent la biodiversité : l’ODD 14 sur la vie aquatique, l’ODD 15 sur la vie terrestre et l’ODD 17 sur les partenariats pour la réalisation des objectifs.

Chaque année, un rapport sur l’état d’avancement de la mise en œuvre des ODD est publié par le Secrétariat général de l’ONU. L’ONU organise également des campagnes spécifiques à certains objectifs de développement durable et favorisant les partenariats entre objectifs. »

Site internet