The Prince’s Accounting For Sustainability Project (A4S)

The Prince’s Accounting For Sustainability Project (A4S)

The Prince’s Accounting for Sustainability Project (A4S)

Date de création : 2004

Type de porteur(s) : ONG ou associations.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs communs et spécifiques au secteur d’activité.

Organisations rassemblées dans l’initiative : ONG ou associations, experts, recherche ou académiques, institutions publiques.

Financeur(s) ou porteur(s) : Prince of Wales’s Charitable Fund.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, comptabilité, droits de l’homme, finance.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Intégration de  la biodiversité, valorisation de la nature.

Méthode(s) de travail : Publication de guides, développement de projets, organisation d’évènements, organisation de réunions et webinaires.

Description : « Il s’agit d’un projet développé par la Fondation Charitable du Prince de Galles qui a pour but d’engager les acteurs de la finance dans des business model durables. Pour cela, le projet a développé trois principaux objectifs : inspirer les directeurs financiers à adopter des modèles économiques durables et résilients, transformer le processus de prise de décision financière pour permettre d’avoir une approche intégrée reflétant les opportunités et les risques liés aux sujets environnementaux et sociaux, intensifier l’action à travers la communauté de la finance et de la comptabilité au niveau mondial.

The Prince Accounting for Sustainability project travaille avec des directeurs financiers d’entreprises, la communauté comptable, les investisseurs et les marchés financiers (communauté financière au sens large), les gouvernements et régulateurs et enfin les écoles de commerce et le monde de l’enseignement supérieur. Ils accompagnent les différents acteurs et montent des projets pour qu’ils puissent développer des réponses stratégiques aux tendances durables à l’échelle mondiale. Ils développent des outils de mesure et de valorisation, cherchent à ce que les entreprises intègrent les facteurs de durabilité matérielle dans leurs prises de décisions et collaborent avec les bailleurs de fonds pour les informer sur les facteurs de financements durables. »

Site internet

The Food and Land Use Coalition (FOLU)

The Food and Land Use Coalition (FOLU)

The Food and Land Use Coalition (FOLU)

Date de création : 2017

Type de porteur(s) : Entreprises, ONG ou associations.

Type d’engagement : Pas d’obligations.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, experts, recherche ou académiques, organisations de la société civile, institutions publiques, autres initiatives.

Financeur(s) ou porteur(s) : Gordon et Betty Moore Foundation, MAVA Foundation, Norway’s International Climate and Forest Initiative, Département du Développement International du Royaume-Uni.

Thématique(s) de travail : Alimentation, biodiversité, déchets, droits de l’Homme, économie circulaire, inégalités, technologies.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, conservation, océan, restauration, utilisation des terres.

Méthode(s) de travail : Développement d’outils, actions de sensibilisation, proposition d’aide au développement de stratégies politiques et économiques.

Description : « The Food and Land Use Coalition est une communauté d’organisations et d’individus engagés dans la transformation de nos façons de produire, de consommer la nourriture et la façon dont on utilise nos terres pour les hommes, la nature et le climat. Pour cela, la coalition développe des connaissances, outils et partenariats pour aider les décideurs politiques et économiques à identifier et à s’engager dans des voies de durabilité alimentaire et d’usage des terres. Ils partagent leur travail entre : plaider en faveur d’un changement rapide, aider les pays dans leur planification agricole et d’utilisation des terres ainsi que dans la refonte de leur politique et de leur marché, responsabiliser des leaders du changement dans les domaines publics, privés et de la société civile, développer des voies de transformation fondées sur la science et accélérer les mutations dans le secteur privé.

Ils ont récemment publié un rapport dénombrant 10 transitions essentielles pour transformer notre usage des terres et de la nourriture :

– Promouvoir des régimes alimentaires sains ;

– Mettre en place une agriculture intensive et régénérative ;

– Protéger et restaurer la nature ;

– Sécuriser un océan sain et productif ;

– Diversifier l’apport de protéines ;

– Réduire les pertes et déchets alimentaires ;

– Construire des boucles et réseaux locaux ;

– Exploiter la révolution digitale ;

– Apporter des moyens de subsistance plus forts en milieu rural ;

– Améliorer l’égalité des genres et accélérer la transition démographique. »

Site internet

Roundtable on Sustainable Biomaterials (RSB)

Roundtable on Sustainable Biomaterials (RSB)

Roundtable on Sustainable Biomaterials

Date de création : 2007

Type de porteur(s) : Entreprises, ONG ou associations.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs spécifiques au secteur d’activité (biomatériaux) avec obligation de rapporter sur les progrès effectués (à travers le système de certification).

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, experts, recherche ou académiques, organisations de la société civile, institutions publiques.

Financeur(s) ou porteur(s) : Entreprises membres.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, droits de l’homme, industries.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, conservation, restauration.

Méthode(s) de travail : Conseil aux acteurs intéressés et concernés, développement d’une certification de production durable.

Description : « La Roundtable on Sustainable Biomaterials est une organisation multi-acteurs qui tente de conduire au développement d’une bioéconomie en proposant des solutions durables, des certifications, de l’innovation et des partenariats collaboratifs. Ces solutions et certifications concernent les biomatériaux et cherchent à diminuer le risque, à alimenter la bioéconomie et à contribuer aux ODD en permettant la restauration d’écosystèmes et assurant la sécurité alimentaire. Les membres participant à la direction et au développement de l’organisation sont issus du monde de la recherche et de l’enseignement, du secteur privé et du monde associatif, ce qui leur assure de développer un outil fiable.

Ils ont développé 12 principes décrivant une façon environnementalement, socialement et économiquement respectueuse de produire de la biomasse, des biocarburants et biomatériaux. Les thèmes de ces principes sont : légalité, planification, surveillance et amélioration continuelle, émissions de gaz à effet de serre, droits de l’Homme et du travail, développement rural et social, sécurité alimentaire locale, conservation, sols, eau, qualité de l’air, utilisation de technologies, conseils et gestion des déchets, droits territoriaux. »

Site internet

International Council On Mining and Metals

International Council On Mining and Metals

International Council on Mining and Metals (ICMM)

Date de création : 2001

Type de porteur(s) : Entreprises.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs spécifiques au secteur d’activité (mines et métaux) avec obligation de rapporter sur les progrès effectués.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations.

Financeur(s) ou porteur(s) : Entreprises et associations membres (associations du secteur d’activité principalement).

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, droits de l’Homme, eau, industrie, santé.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Conservation, industries extractives, intégration de la biodiversité, restauration.

Méthode(s) de travail : Organisation de réunions et groupes de travail, publication de rapports, échange entre acteurs.

Description : « L’International Council on Mining and Metals est une organisation regroupant 26 entreprises travaillant dans le domaine minier ou du métal ainsi que 35 associations régionales ou nationales. L’organisation favorise la collaboration pour renforcer la performance sociale et environnementale de l’industrie minière et métallurgique et construire une reconnaissance de sa contribution aux communautés locales et à la société globale.

ICMM a développé 10 principes que doivent implémenter les entreprises membres. Ces 10 principes répondent :

– Aux problématiques environnementales pour s’inscrire dans un développement économique durable qui respecte entre autres la biodiversité ;

– Aux problématiques  d’éthique et de droits de  l’Homme  dans la recherche d’une amélioration des performances sociales et des conditions de travail ;

– Aux problématiques de transparence et de fiabilité de la filière. »

Site internet

Global Reporting Initiative (GRI)

Global Reporting Initiative (GRI)

Global Reporting Initiative (GRI)

Date de création : 1997

Type de porteur(s) : ONG ou associations.

Type d’engagement : Pas d’obligations.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, institutions publiques, organisations de la société civile.

Financeur(s) ou porteur(s) : L’ensemble des entreprises et organisations membres.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, comptabilité, déchets, droits de l’Homme, eau, économie, énergies, finance, gouvernance, industries, inégalités, santé.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Conservation, intégration de la biodiversité, reporting, restauration.

Méthode(s) de travail : Développement de standards de reporting pour les organisations, organisations de groupes de travail, aide aux organisations dans la réalisation de leur reporting.

Description : « La Global Reporting Initiative est une organisation qui a pour but d’aider les entreprises et les gouvernements du monde entier à comprendre leurs impacts et à les communiquer. L’initiative a développé des standards de reporting pour ces organisations concernant des enjeux essentiels comme la biodiversité, le changement climatique, les droits de l’homme la gouvernance, le bien-être social etc. Ces standards de reporting sur les enjeux de développement durable sont approuvés au niveau mondial et sont accessibles gratuitement depuis leur site internet. Dans l’optique de favoriser le reporting sur les enjeux de durabilité des organisations, l’initiative se concentre sur quatre enjeux pour les prochaines années :

– Créer des standards et conseils pour accélérer le développement durable des organisations ;

– Harmoniser le paysage du reporting sur les sujets de durabilité ;

– Mener des opérations de reporting de durabilité productives et efficaces ;

– Piloter l’usage efficace de l’information sur la durabilité des activités pour améliorer la performance. »

Site internet

Aluminium Stewardship Initiative (ASI)

Aluminium Stewardship Initiative (ASI)

Aluminium Stewardship Initiative (ASI)

Date de création : 2010

Type de porteur(s) : Entreprises, ONG ou associations.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs spécifiques au secteur d’activité (aluminium) avec obligation de rapporter sur les progrès effectués.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, organisations de la société civile.

Financeur(s) ou porteur(s) : Membres de l’initiative (entreprises principalement et quelques associations).

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, droits de l’Homme, industries.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Conservation, intégration de la biodiversité.

Méthode(s) de travail : Développement de standards de production, d’un système de certification et d’un programme d’enseignement en ligne ou personnel.

Description : « L’Aluminium Stewardship Initiative est une organisation non lucrative qui certifie et fixe des standards dans les chaînes de production où l’aluminium intervient. Les standards développés s’appliquent à l’ensemble de la chaîne de valeur et permettent de répondre aux demandes des industriels et des consommateurs pour approvisionnement responsable, d’améliorer leur confiance, de réduire les risques de mauvaise réputation et d’offrir l’occasion de démontrer la responsabilisation des acteurs. Le système de certification développé est centré la production responsable, l’approvisionnement et la gestion de l’aluminium. Il couvre l’ensemble de la chaîne de production en incluant l’émission de gaz à effets de serre, la gestion des déchets, la gestion des matériaux, la biodiversité et les droits de l’Homme.

C’est une organisation multi-acteurs (associations, société civile, producteurs, utilisateurs etc.) et ses objectifs sont :

– De définir des standards mondiaux de performance durable et une chaîne de contrôle pour la chaîne de production de l’aluminium ;

– De promouvoir les avancées mesurables et continues au niveau des impacts majeurs de la production, d’utilisation et de recyclage de l’aluminium (sur les aspects environnementaux, sociaux et de gouvernance) ;

– De développer un système d’assurance et de certification crédible qui atténue les risques de non-conformité avec les standards développés par l’ASI et qui minimise les barrières d’une implémentation à grande échelle ;

– De devenir et rester une organisation valorisée au niveau mondial pour la construction de programmes de durabilité dans la chaîne de valeur de l’aluminium, qui serait autofinancée et en même temps inclurait les différents intérêts des acteurs. »

Site internet