Partnership for Biodiversity Accounting Financials

Partnership for Biodiversity Accounting Financials

Partnership for Biodiversity Accounting Financials

Date de creation : 2019

Type de porteur(s) : Entreprises

Type d’engagement : Pas d’obligations.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises

Financeur(s) ou porteur(s) : ASN Bank, ACTIAM, FMO, Robeco, Triodos Bank et Triple Jump.

Thématique(s) de travail : Finance, comptabilité, industries.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Investissements durables, impact des investissements financiers sur la biodiversité (qualitatif et quantitatif).

Méthode(s) de travail : Discussions, échanges d’expériences et d’études de cas, élaboration d’une approche harmonisée de la comptabilité de la biodiversité dans le secteur financier.

Description : « Le Partenariat pour la comptabilité financière de la biodiversité (PBAF) est un partenariat d’institutions financières qui travaillent ensemble pour explorer les opportunités et les défis entourant l’évaluation et la divulgation de l’impact sur la biodiversité associé à leurs prêts et investissements.

A travers des discussions, l’échange d’expériences et d’études de cas, les partenaires du PBAF coopèrent à l’élaboration d’un ensemble de principes harmonisés sous-tendant l’évaluation de l’impact sur la biodiversité.

De tels principes ne sont pas réservés à une méthodologie d’évaluation d’impact spécifique et peuvent offrir un point de départ précieux pour les évaluations d’impact qualitatives et quantitatives sur la biodiversité ou les « empreintes » de la biodiversité. Par ces principes, le PBAF souhaite contribuer au développement d’une approche harmonisée de la comptabilité de la biodiversité dans le secteur financier.

En 2020, la plateforme de connaissances a présenté son premier rapport Common Ground, décrivant ses paramètres communs pour mesurer les impacts positifs et négatifs des investissements sur la biodiversité, lors d’une convention des Nations Unies. »

Site internet

Capitals Coalition

Capitals Coalition

Capitals Coalition

Date de création : 2020

Type de porteur(s) : Institution publique, ONG et association, entreprises.

Type d’engagement : Pas d’engagement.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, experts, chercheurs ou académiques, institutions publiques, autres initiatives.

Financeur(s) ou porteur(s) : Anthesis, ABN AMRO, Business for Nature, Center for Safety and Health Sustainability, Economics for the Environment Consultancy, ERM, Green Economy Coalition, Global Green Growth Initiative, IDEEA Group, Impact Management Project (IMP),  ICAEW, IUCN, Kering, Little Blue Research, L’Oréal, Natural Capital Project, Netherlands Water Partnership, Novartis, Olam, PwC, Shift, S&P Global, SustainValue, UNEP WCMC, value balancing alliance (VBA), Wellbeing Economy Alliance, WBCSD, WWF International, CEBDS.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, comptabilité, données, droits de l’Homme, économie, finance, gouvernance, gestion, inégalités, santé.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, conservation, déforestation, indicateurs de biodiversité, intégration de la biodiversité, océan, reporting, valorisation de la nature.

Méthode(s) de travail : Développement de projets bénéfiques pour la nature, les êtres humains et l’économie.

Description : « La Natural Capital Coalition et la Social & Human Capital Coalition se sont réunies dans l’initiative Capitals Coalition. Les coalitions travailleront en collaboration pour s’assurer que les valeurs issues de la nature, la société et les Hommes renseignent conjointement les prises de décision publiques et privées. L’objectif de cette union est de réussir à offrir un futur stable et résilient en abordant les questions environnementales, sociales et économiques ensemble au sein d’un système intégré.

Cette approche systémique est incluse dans l’initiative qui réunit plus de 350 organisations et engage des milliers d’autres qui représentent ensemble tous les aspects de la société couvre notre économie globalisée. La coalition participe à l’accélération des dynamiques, à l’influence des succès, à la mise en relation de communautés engagées et puissantes et à l’identification d’espaces, projets, partenariats où il est possible d’obtenir des résultats positifs pour la nature, les êtres humains et l’économie. »

Site internet

Initiative for Responsible Mining Assurance (IRMA)

Initiative for Responsible Mining Assurance (IRMA)

Initiative for Responsible Mining Assurance (IRMA)

Date de création : 2006

Type de porteur(s) : Entreprises, ONG ou associations.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs spécifiques au secteur d’activité (minière).

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, organisations de la société civile.

Financeur(s) ou porteur(s) : AngloAmerican, Arcelor Mittal, Earthworks, First Nations Women Advocating Responsible Mining (FNWARM), Human Rights Watch,  Industrial Global Union, Jewelers of America, Material Efficiency Research Group, Microsoft, Tiffany & Co, United Steelworkers.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, déchets, droits de l’Homme, eau, industrie, pollutions.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Compensation, conservation, industries extractives, reporting, restauration.

Méthode(s) de travail : Développement de standards et d’un système de certification. Construction d’une « carte des mines responsables ».

Description : « L’Initiative for Responsible Mining Assurance rassemble entreprises minières, entreprises s’approvisionnant en ressources minières, ONG et organisations syndicales derrière une vision commune : celle d’une industrie minière respectant les droits de l’Homme et les désirs des communautés affectées, fournissant un cadre de travail sécurisé, sain et solidaire, minimisant les préjudices environnementaux et laissant une empreinte positive.

L’initiative propose de certifier la performance sociale et environnementale de sites miniers en utilisant des standards reconnus mondialement et développés en consultation avec un large panel d’acteurs du milieu. Au sein des critères du standard, la responsabilité environnementale est évaluée et un chapitre spécifique à la biodiversité, aux services écosystémiques et aires protégées a été développé. Des exigences sont requises au niveau d’études d’impact, d’atténuation de ces impacts, de gestion au niveaux des espaces protégés et de surveillance des pratiques de gestion mises en place. »

Site internet

The Fashion Pact

The Fashion Pact

The Fashion Pact

Date de création : 2019

Type de porteur(s) : Entreprises.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs communs et spécifiques au secteur d’activité.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises.

Financeur(s) ou porteur(s) : Entreprises signataires (voir ci-dessous).

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, économie circulaire, industries, pollutions, technologies.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, conservation, déforestation, restauration, sols.

Méthode(s) de travail : Collaboration entre entreprises, fixation d’objectifs, élaboration d’initiatives conjointes

Description : « Le Fashion Pact est une initiative de Kering, regroupant de nombreuses entreprises du domaine de la mode et du textile. Elle a été lancée lors du G7 à Biarritz.

La coalition articule ses engagements autour de trois thématiques :

  • L’enrayement du réchauffement climatique ;
  • La restauration de la biodiversité ;
  • La protection des océans.

Cinquante-six entreprises représentant 250 marques ont signé le pacte : ADIDAS, ARMANI GROUP, AUCHAN RETAIL, BALLY, BESTSELLER, BURBERRY, CALZEDONIA GROUP, CAPRI HOLDINGS LIMITED, CARREFOUR, CHANEL, CELIO, DAMARTEX GROUP, DECATHLON, EL CORTE INGLES, ERALDA, ERMENEGILDO ZEGNA, EVERYBODY & EVERYONE, FARFETCH, FASHION3, FIGARET, FUNG GROUP, GANT, GALERIES LAFAYETTE, GAP Inc., GEOX, GROUPE BEAUMANOIR, GROUPE ERAM, GROUPE ETAM, GTS GROUP, H&M GROUP, HERMES, INDITEX, KARL LAGERFELD, KERING, KIABI, LA REDOUTE, LADY LAWYER FASHION ARCHIVE, MANGO, MATCHESFASHION.COM, MONCLER, NANA JUDY, NIKE, NORDSTROM, PAUL & JOE, PRADA S.p.A., PROMOD, PUMA, PVH Corp., RALPH LAUREN, RUYI, SALVATORE FERRAGAMO, SELFRIDGES GROUP, SPARTOO-ANDRE, STELLA MCCARTNEY, TAPESTRY, THE VISUALITY CORPORATION.

En plus des engagements globaux sur les trois thématiques, les entreprises sont invitées à participer à des initiatives et travaux concrets conjointement avec d’autres organisations (recherche, ONG, etc.) et d’autres secteurs. Les signataires sont également invitées à mener des actions transversales qui recoupent les engagements (économie circulaire, éducation, etc.).»

Site internet

Voice for the planet

Voice for the planet

Voice for the Planet

Date de création : 2019

Type de porteur(s) : ONG ou associations.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs spécifiques.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, institutions publiques, organisations de la société civile.

Financeur(s) ou porteur(s) : Global Shapers (World Economic Forum), Ape Alliance, BirdLife International, Circle of Blue, ClientEarth, Climate Reality Project, Conservation International, Designing Water’s Future, Fauna and Flora International, Globaia, International Union for the Conservation of Nature and Natural Resources, IPBES, Lion’s Share, National Geographic Society, Nature4Climate, Project Everyone, RSPB, The Natural History Museum, The Nature Conservancy, UNDP, UNICEF, World Economic Forum’s Center for Global Public Goods, WRI, WWF, Zoological Society of London.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, énergies, industries.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, conservation, intégration de la biodiversité, restauration

Méthode(s) de travail : Développement d’une plateforme d’engagement pour tout individu ou acteur souhaitant agir pour la planète.

Description : « L’initiative Voice for the planet a été lancée par Global Shapers (une initiative du World Economic Forum) durant le Forum de Davos en janvier 2019. Il s’agit d’une plateforme (gérée par le WWF) sur laquelle n’importe quel individu appeler les dirigeants de notre monde à une action urgente. L’initiative fait partie de la demande global d’un « new deal for nature and people » qui appelle à sauvegarder la nature et mettre en place des mesures pour qu’elle soit restaurée en 2030. L’initiative demande à tout le monde d’agir : individus, communautés, entreprises et politiciens.

La plateforme permet aux personnes souhaitant s’engager de renseigner des informations et de choisir parmi les cinq actions suivantes :

  • Changer ma façon de manger ;
  • Adopter les énergies renouvelables ;
  • Restaurer la nature là où j’habite ;
  • Changer mes habitudes consommations ;
  • Demander à mes dirigeants politiques de protéger la nature.

Les engagements seront portés lors des grands évènements de 2020 pour la biodiversité.»

Site internet

Commission Biodiversité d’Entreprises pour l’Environnement (EpE)

Commission Biodiversité d’Entreprises pour l’Environnement (EpE)

Commission Biodiversité d’Entreprises pour l’Environnement (EpE)

Date de création : 2008

Type de porteur(s) : Entreprises

Type d’engagement : Pas d’obligations.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises.

Financeur(s) ou porteur(s) : Les entreprises membres d’Entreprises pour l’Environnement (EpE).

Thématique(s) de travail : Biodiversité, gouvernance.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Indicateurs de biodiversité, intégration de la biodiversité, reporting, valorisation de la nature.

Méthode(s) de travail : Partage de bonnes pratiques des entreprises membres, retours d’expériences, expertises, publications, engagements volontaires.

Description : « Le récent Plan Biodiversité en France, la CBD, l’UICN, l’IPBES ou encore les Objectifs de Développement Durable (ODD) à l’international insistent sur le rôle des acteurs économiques dans la préservation de la biodiversité et des services écosystémiques et sur l’urgence de modifier les modèles de développement actuels.

La biodiversité étant dans son principe même systémique, les solutions individuelles ne sont pas suffisantes. Les entreprises sont incitées à accélérer la meilleure prise en compte de la biodiversité dans leurs modèles d’affaires et leurs opérations. Quelle que soit l’activité de l’entreprise, celle-ci a des impacts directs ou indirects sur la biodiversité. Après avoir travaillé sur les méthodes, outils, indicateurs et partenariats pour mieux appréhender et gérer les impacts directs, la commission Biodiversité d’EpE s’est attachée à l’amélioration de la prise en compte des impacts indirects des entreprises sur la biodiversité, c’est-à-dire sur la gestion des impacts tout au long de la chaine de valeur.

Depuis janvier 2017, la commission présidée par Nathalie Devulder, Directrice Développement Durable de RTE, a initié un nouveau cycle de réflexion sur le changement d’échelle : comment massifier les actions en faveur de la biodiversité et intégrer la biodiversité aux décisions stratégiques des entreprises.

La commission Biodiversité est à l’origine de l’initiative d’engagement act4nature dont le lancement en France a eu lieu le 10 juillet 2018 et qui sera prochainement remplacée par l’initiative act4nature international, l’engagement act4nature ayant été intégré dans le dispositif d’engagement des entreprises du gouvernement français : « Entreprises Engagées pour la Nature – act4nature France ». 

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