Global Compact France

Global Compact France

Global Compact France

Date de création : 2005

Type de porteur(s) : Institutions publiques.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs communs et spécifiques au secteur d’activité avec une obligation de rapporter sur les progrès effectués.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, experts, recherche ou académiques, organisations de la société civile, institutions publiques.

Financeur(s) ou porteur(s) : Les entreprises s’engageant au niveau de la France.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, droit, droits de l’Homme, eau, éducation, énergies, finance, gouvernance, inégalités, santé.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, conservation, océan, restauration, sols.

Méthode(s) de travail : Développement de thèmes d’actions  sur lesquels peuvent s’engager les entreprises, accompagnement des entreprises, organisation de groupes de travail.

Description : « Le Global Compact France est le relai France du Global Compact des Nations Unies. Il y a 1261 engagés dont 1152 entreprises. Retrouvez la description du Global Compact ici.

Il est d’abord nécessaire de s’engager dans le Global Compact UN (respecter les 10 principes) pour adhérer au Global Compact France et la cotisation est reversée au Global Compact France. »

Site internet

The Food and Land Use Coalition (FOLU)

The Food and Land Use Coalition (FOLU)

The Food and Land Use Coalition (FOLU)

Date de création : 2017

Type de porteur(s) : Entreprises, ONG ou associations.

Type d’engagement : Pas d’obligations.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, experts, recherche ou académiques, organisations de la société civile, institutions publiques, autres initiatives.

Financeur(s) ou porteur(s) : Gordon et Betty Moore Foundation, MAVA Foundation, Norway’s International Climate and Forest Initiative, Département du Développement International du Royaume-Uni.

Thématique(s) de travail : Alimentation, biodiversité, déchets, droits de l’Homme, économie circulaire, inégalités, technologies.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, conservation, océan, restauration, utilisation des terres.

Méthode(s) de travail : Développement d’outils, actions de sensibilisation, proposition d’aide au développement de stratégies politiques et économiques.

Description : « The Food and Land Use Coalition est une communauté d’organisations et d’individus engagés dans la transformation de nos façons de produire, de consommer la nourriture et la façon dont on utilise nos terres pour les hommes, la nature et le climat. Pour cela, la coalition développe des connaissances, outils et partenariats pour aider les décideurs politiques et économiques à identifier et à s’engager dans des voies de durabilité alimentaire et d’usage des terres. Ils partagent leur travail entre : plaider en faveur d’un changement rapide, aider les pays dans leur planification agricole et d’utilisation des terres ainsi que dans la refonte de leur politique et de leur marché, responsabiliser des leaders du changement dans les domaines publics, privés et de la société civile, développer des voies de transformation fondées sur la science et accélérer les mutations dans le secteur privé.

Ils ont récemment publié un rapport dénombrant 10 transitions essentielles pour transformer notre usage des terres et de la nourriture :

– Promouvoir des régimes alimentaires sains ;

– Mettre en place une agriculture intensive et régénérative ;

– Protéger et restaurer la nature ;

– Sécuriser un océan sain et productif ;

– Diversifier l’apport de protéines ;

– Réduire les pertes et déchets alimentaires ;

– Construire des boucles et réseaux locaux ;

– Exploiter la révolution digitale ;

– Apporter des moyens de subsistance plus forts en milieu rural ;

– Améliorer l’égalité des genres et accélérer la transition démographique. »

Site internet

Roundtable on Sustainable Biomaterials (RSB)

Roundtable on Sustainable Biomaterials (RSB)

Roundtable on Sustainable Biomaterials

Date de création : 2007

Type de porteur(s) : Entreprises, ONG ou associations.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs spécifiques au secteur d’activité (biomatériaux) avec obligation de rapporter sur les progrès effectués (à travers le système de certification).

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, experts, recherche ou académiques, organisations de la société civile, institutions publiques.

Financeur(s) ou porteur(s) : Entreprises membres.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, droits de l’homme, industries.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, conservation, restauration.

Méthode(s) de travail : Conseil aux acteurs intéressés et concernés, développement d’une certification de production durable.

Description : « La Roundtable on Sustainable Biomaterials est une organisation multi-acteurs qui tente de conduire au développement d’une bioéconomie en proposant des solutions durables, des certifications, de l’innovation et des partenariats collaboratifs. Ces solutions et certifications concernent les biomatériaux et cherchent à diminuer le risque, à alimenter la bioéconomie et à contribuer aux ODD en permettant la restauration d’écosystèmes et assurant la sécurité alimentaire. Les membres participant à la direction et au développement de l’organisation sont issus du monde de la recherche et de l’enseignement, du secteur privé et du monde associatif, ce qui leur assure de développer un outil fiable.

Ils ont développé 12 principes décrivant une façon environnementalement, socialement et économiquement respectueuse de produire de la biomasse, des biocarburants et biomatériaux. Les thèmes de ces principes sont : légalité, planification, surveillance et amélioration continuelle, émissions de gaz à effet de serre, droits de l’Homme et du travail, développement rural et social, sécurité alimentaire locale, conservation, sols, eau, qualité de l’air, utilisation de technologies, conseils et gestion des déchets, droits territoriaux. »

Site internet

Business Alliance for Water and Climate (BAFWAC)

Business Alliance for Water and Climate (BAFWAC)

Business Alliance for Water and Climate (BAFWAC)

Date de création : 2012

Type de porteur(s) : Entreprises, ONG ou associations, institutions publiques.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs communs avec obligation de rapporter sur les progrès effectués.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, institutions publiques.

Financeur(s) ou porteur(s) : « CEO Water Mandate » du Global Compact, CDP, SUEZ, WBCSD, WWF, AFED, Business in the Community, Partenariat français pour l’Eau, Les Entreprises de l’Eau, Water Footprint Network, Alliance for Water Stewardship.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, eau.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture.

Méthode(s) de travail : Partage d’outils et de ressources, suivi des engagements.

Description : « La Business Alliance for Water and Climate est une initiative du CDP (Carbon Disclosure Project), de l’initiative du Global Compact « CEO Water Mandate », de SUEZ et du WBCSD. Elle a depuis été approuvée par la Convention sur le Changement Climatique de l’ONU. Depuis, elle est devenue un des engagements de We Mean Business. L’alliance a pour but de développer une action globale et un ensemble de pratiques exemplaires, d’outils et de ressources concernant la gestion circulaire de l’eau, des pratiques agricoles résilientes et les infrastructures naturelles.

Les entreprises signataires (52 actuellement) s’engagent à :

– Analyser les risques climatiques et liés à l’eau ainsi qu’à implémenter des stratégies collaboratives face à ces risques ;

– Mesurer des données relatives à l’utilisation de l’eau et les diffuser (grâce au questionnaire « eau » du CDP, à travers des rapports annuels de durabilité ou en communiquant les progrès par l’engagement du Global Compact « CEO Water Mandate » ou sur leur propre site internet) ;

– Réduire les impacts sur la disponibilité et la qualité de l’eau tout en améliorant la résilience climatique dans les opérations directes et tout au long de la chaîne de production. »

Site internet

AgWater Challenge

AgWater Challenge

AgWater Challenge

Date de création : 2016

Type de porteur(s) : ONG ou associations.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs communs et spécifiques au secteur d’activité avec obligation de rapporter sur les progrès effectués.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations.

Financeur(s) ou porteur(s) : Ceres, WWF.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, eau.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture.

Méthode(s) de travail : Aide au développement d’engagements sur la gestion de l’eau mesurables et limités dans le temps, organisation de réunions d’échanges et d’apprentissages entre acteurs.

Description : « L’AgWater Challenge a été initié par le WWF et Ceres pour encourager les entreprises à progresser dans leurs stratégies d’approvisionnement durable. Les entreprises reçoivent de l’aide pour analyser leurs problèmes liés à l’eau dans leur chaîne de production et pour affiner leurs engagements ou en faire de nouveaux par rapport à leurs approvisionnements afin de leur permettre de mieux gérer leurs risques.

Le défi cherche à développer des engagements mesurables et limités dans le temps pour :

– Réduire les impacts sur l’eau liés aux principaux produits agricoles ;

– Implémenter des stratégies pertinentes au niveau local pour atténuer le risque dans les zones agricoles où la ressource en eau est rare ;

– Aider et encourager les agriculteurs et autres producteurs agricoles à renforcer les pratiques de gestion de l’eau.

Neuf entreprises ont signé 25 engagements de renforcement de la gestion de l’eau dans leur chaînes de production : Diageo, General Mills, Hormel Foods, Kellogg Company, PepsiCo, DanoneWave, Target, ADM et Driscoll’s. »

Site internet

Accountability Framework

Accountability Framework

Accountability Framework

Date de création : 2016

Type de porteur(s) : ONG ou associations.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs communs et spécifiques à l’entreprise avec obligation de rapporter sur les progrès effectués.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, organisations de la société civile, institutions publiques, autres initiatives.

Financeur(s) ou porteur(s) : Ministère de l’environnement, de la conservation de la nature et de la sécurité nucléaire allemand, Gordon and Betty Moore Foundation, Norway’s International Climate and Forest Initiative, Secrétariat des affaires économiques du gouvernement Suisse, UK Aid Direct.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, droits de l’Homme, industrie.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, conservation, déforestation, intégration de la biodiversité, reporting, restauration.

Méthode(s) de travail : Développement d’un cadre avec des définitions, normes, lignes de conduites que peuvent implémenter les entreprises pour avoir des chaînes de production éthiques.

Description : « Il s’agit d’une coalition construite autour d’un objectif commun : accélérer le progrès et améliorer la comptabilité sur les engagements des entreprises à protéger la forêt, les écosystèmes naturels et les droits de l’Homme. Le comité de pilotage d’Accountability Framework est essentiellement composé d’ONG et il travaille avec des entreprises, gouvernements et d’autres initiatives durables. La coalition fournit une feuille de route pour le développement, l’implémentation et la surveillance de chaînes de valeurs éthiques dans les domaines liés à l’agriculture et à la foresterie.

Les normes fixées proviennent d’un consensus établi par de nombreuses ONG environnementales et défendant les droits de l’Homme. Elles ont été revues par le secteur privé et d’autres acteurs clés afin de développer une référence mondiale applicable à différentes denrées et régions planétaires. Il y a trois phases définies par le cadre : la prise d’engagements, le passage à l’action et la démonstration des progrès. Tout au long de ces étapes, des principes fondamentaux ont été définis par l’initiative pour fournir un point de départ pour la mise en œuvre du cadre de l’initiative dans différents contextes. »

Site internet