Global Compact France

Global Compact France

Global Compact France

Date de création : 2005

Type de porteur(s) : Institutions publiques.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs communs et spécifiques au secteur d’activité avec une obligation de rapporter sur les progrès effectués.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, experts, recherche ou académiques, organisations de la société civile, institutions publiques.

Financeur(s) ou porteur(s) : Les entreprises s’engageant au niveau de la France.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, droit, droits de l’Homme, eau, éducation, énergies, finance, gouvernance, inégalités, santé.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, conservation, océan, restauration, sols.

Méthode(s) de travail : Développement de thèmes d’actions  sur lesquels peuvent s’engager les entreprises, accompagnement des entreprises, organisation de groupes de travail.

Description : « Le Global Compact France est le relai France du Global Compact des Nations Unies. Il y a 1261 engagés dont 1152 entreprises. Retrouvez la description du Global Compact ici.

Il est d’abord nécessaire de s’engager dans le Global Compact UN (respecter les 10 principes) pour adhérer au Global Compact France et la cotisation est reversée au Global Compact France. »

Site internet

The Prince’s Accounting For Sustainability Project (A4S)

The Prince’s Accounting For Sustainability Project (A4S)

The Prince’s Accounting for Sustainability Project (A4S)

Date de création : 2004

Type de porteur(s) : ONG ou associations.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs communs et spécifiques au secteur d’activité.

Organisations rassemblées dans l’initiative : ONG ou associations, experts, recherche ou académiques, institutions publiques.

Financeur(s) ou porteur(s) : Prince of Wales’s Charitable Fund.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, comptabilité, droits de l’homme, finance.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Intégration de  la biodiversité, valorisation de la nature.

Méthode(s) de travail : Publication de guides, développement de projets, organisation d’évènements, organisation de réunions et webinaires.

Description : « Il s’agit d’un projet développé par la Fondation Charitable du Prince de Galles qui a pour but d’engager les acteurs de la finance dans des business model durables. Pour cela, le projet a développé trois principaux objectifs : inspirer les directeurs financiers à adopter des modèles économiques durables et résilients, transformer le processus de prise de décision financière pour permettre d’avoir une approche intégrée reflétant les opportunités et les risques liés aux sujets environnementaux et sociaux, intensifier l’action à travers la communauté de la finance et de la comptabilité au niveau mondial.

The Prince Accounting for Sustainability project travaille avec des directeurs financiers d’entreprises, la communauté comptable, les investisseurs et les marchés financiers (communauté financière au sens large), les gouvernements et régulateurs et enfin les écoles de commerce et le monde de l’enseignement supérieur. Ils accompagnent les différents acteurs et montent des projets pour qu’ils puissent développer des réponses stratégiques aux tendances durables à l’échelle mondiale. Ils développent des outils de mesure et de valorisation, cherchent à ce que les entreprises intègrent les facteurs de durabilité matérielle dans leurs prises de décisions et collaborent avec les bailleurs de fonds pour les informer sur les facteurs de financements durables. »

Site internet

The Food and Land Use Coalition (FOLU)

The Food and Land Use Coalition (FOLU)

The Food and Land Use Coalition (FOLU)

Date de création : 2017

Type de porteur(s) : Entreprises, ONG ou associations.

Type d’engagement : Pas d’obligations.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, experts, recherche ou académiques, organisations de la société civile, institutions publiques, autres initiatives.

Financeur(s) ou porteur(s) : Gordon et Betty Moore Foundation, MAVA Foundation, Norway’s International Climate and Forest Initiative, Département du Développement International du Royaume-Uni.

Thématique(s) de travail : Alimentation, biodiversité, déchets, droits de l’Homme, économie circulaire, inégalités, technologies.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, conservation, océan, restauration, utilisation des terres.

Méthode(s) de travail : Développement d’outils, actions de sensibilisation, proposition d’aide au développement de stratégies politiques et économiques.

Description : « The Food and Land Use Coalition est une communauté d’organisations et d’individus engagés dans la transformation de nos façons de produire, de consommer la nourriture et la façon dont on utilise nos terres pour les hommes, la nature et le climat. Pour cela, la coalition développe des connaissances, outils et partenariats pour aider les décideurs politiques et économiques à identifier et à s’engager dans des voies de durabilité alimentaire et d’usage des terres. Ils partagent leur travail entre : plaider en faveur d’un changement rapide, aider les pays dans leur planification agricole et d’utilisation des terres ainsi que dans la refonte de leur politique et de leur marché, responsabiliser des leaders du changement dans les domaines publics, privés et de la société civile, développer des voies de transformation fondées sur la science et accélérer les mutations dans le secteur privé.

Ils ont récemment publié un rapport dénombrant 10 transitions essentielles pour transformer notre usage des terres et de la nourriture :

– Promouvoir des régimes alimentaires sains ;

– Mettre en place une agriculture intensive et régénérative ;

– Protéger et restaurer la nature ;

– Sécuriser un océan sain et productif ;

– Diversifier l’apport de protéines ;

– Réduire les pertes et déchets alimentaires ;

– Construire des boucles et réseaux locaux ;

– Exploiter la révolution digitale ;

– Apporter des moyens de subsistance plus forts en milieu rural ;

– Améliorer l’égalité des genres et accélérer la transition démographique. »

Site internet

Science Based Targets Initiative

Science Based Targets Initiative

Science Based Targets Initiative

Date de création : 2015

Type de porteur(s) : Institutions publiques, ONG ou associations.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs spécifiques à l’entreprise avec obligation de rapporter sur les progrès effectués.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, experts, recherche et académiques, organisations de la société civile, institutions publiques.

Financeur(s) ou porteur(s) : IKEA Foundation, We Mean Business, UPS Foundation et d’autres financements sur des projets spécifiques.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, finance, industrie, pollutions.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Intégration de la biodiversité.

Méthode(s) de travail : Organisation de réunions de travail, promotion de pratiques exemplaires, évaluation et approbation des objectifs des entreprises.

Description : « La Science Based Targets Initiative est issue d’une collaboration entre le CDP, le Global Compact, le World Resource Institute, WWF et un des engagements We Mean Business. L’objectif de l’initiative est que d’ici 2020, la fixation d’objectifs fondés sur la science devienne une pratique entrepreneuriale classique. L’initiative présente les entreprises qui fixent des objectifs fondés sur la science dans les études de cas, évènements et à travers les médias afin de démontrer tous les bénéfices que peuvent avoir ces objectifs. Elle définit et promeut les pratiques exemplaires dans la fixation d’objectifs fondés sur la science avec l’aide d’un Groupe Consultatif Technique. Elle met à disposition des ressources, organise des réunions de travail et offre des conseils pour enlever les barrières à l’utilisation des ressources scientifiques. Enfin, elle évalue et approuve les objectifs des entreprises de façon indépendante.

Aujourd’hui, 689 entreprises sont passés à l’action à travers l’initiative et 285 ont des « science-based targets » approuvés par l’initiative. Suite au rapport du GIEC sur les différents scénarios d’augmentation des températures et de l’Accord de Paris, ils accompagnent désormais seulement les entreprises ayant des objectifs respectant l’objectif 2°C qu’elles devront refaire valider tous les 5 ans par l’initiative. »

Site internet

Roundtable on Sustainable Biomaterials (RSB)

Roundtable on Sustainable Biomaterials (RSB)

Roundtable on Sustainable Biomaterials

Date de création : 2007

Type de porteur(s) : Entreprises, ONG ou associations.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs spécifiques au secteur d’activité (biomatériaux) avec obligation de rapporter sur les progrès effectués (à travers le système de certification).

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, experts, recherche ou académiques, organisations de la société civile, institutions publiques.

Financeur(s) ou porteur(s) : Entreprises membres.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, droits de l’homme, industries.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, conservation, restauration.

Méthode(s) de travail : Conseil aux acteurs intéressés et concernés, développement d’une certification de production durable.

Description : « La Roundtable on Sustainable Biomaterials est une organisation multi-acteurs qui tente de conduire au développement d’une bioéconomie en proposant des solutions durables, des certifications, de l’innovation et des partenariats collaboratifs. Ces solutions et certifications concernent les biomatériaux et cherchent à diminuer le risque, à alimenter la bioéconomie et à contribuer aux ODD en permettant la restauration d’écosystèmes et assurant la sécurité alimentaire. Les membres participant à la direction et au développement de l’organisation sont issus du monde de la recherche et de l’enseignement, du secteur privé et du monde associatif, ce qui leur assure de développer un outil fiable.

Ils ont développé 12 principes décrivant une façon environnementalement, socialement et économiquement respectueuse de produire de la biomasse, des biocarburants et biomatériaux. Les thèmes de ces principes sont : légalité, planification, surveillance et amélioration continuelle, émissions de gaz à effet de serre, droits de l’Homme et du travail, développement rural et social, sécurité alimentaire locale, conservation, sols, eau, qualité de l’air, utilisation de technologies, conseils et gestion des déchets, droits territoriaux. »

Site internet

New Plastics Economy Global Commitment

New Plastics Economy Global Commitment

New Plastics Economy Global Commitment

Date de création : 2018

Type de porteur(s) : ONG ou associations, institutions publiques.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs communs et spécifiques au secteur d’activité avec obligation de rapporter sur les progrès effectués.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, institutions publiques.

Financeur(s) ou porteur(s) : Ellen Mc Arthur Foundation, UNEP.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, déchets, économie circulaire, pollutions.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Océan, pollution plastique.

Méthode(s) de travail : Développement d’un engagement  détaillé  pour guider les signataires dans la réduction de leur pollution plastique.

Description : « Le New Plastics Economy Global Commitment est porté par Ellen McArthur Foundation et rassemble gouvernements et entreprises derrière une vision commune pour s’attaquer aux déchets et à la pollution plastique à sa source. Plus de 400 organisations sont signataires de l’engagement. Cette initiative a été réalisée en collaboration avec l’UNEP.

L’engagement promeut l’approche économique circulaire pour le plastique afin qu’il ne soit jamais un déchet, ne puisse pas dégrader l’environnement et porter atteinte au bon fonctionnement des écosystèmes. Les signataires s’engagent sur des objectifs à atteindre pour 2025 : éliminer tous les éléments plastiques problématiques et non nécessaires ; innover pour s’assurer que les plastiques dont on a besoin sont réutilisables, recyclables ou compostables ; faire circuler tous les éléments plastiques que l’on garde habituellement pour les conserver dans l’économie et en dehors de l’environnement. »

Site internet