The Food and Land Use Coalition (FOLU)

The Food and Land Use Coalition (FOLU)

The Food and Land Use Coalition (FOLU)

Date de création : 2017

Type de porteur(s) : Entreprises, ONG ou associations.

Type d’engagement : Pas d’obligations.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, experts, recherche ou académiques, organisations de la société civile, institutions publiques, autres initiatives.

Financeur(s) ou porteur(s) : Gordon et Betty Moore Foundation, MAVA Foundation, Norway’s International Climate and Forest Initiative, Département du Développement International du Royaume-Uni.

Thématique(s) de travail : Alimentation, biodiversité, déchets, droits de l’Homme, économie circulaire, inégalités, technologies.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, conservation, océan, restauration, utilisation des terres.

Méthode(s) de travail : Développement d’outils, actions de sensibilisation, proposition d’aide au développement de stratégies politiques et économiques.

Description : « The Food and Land Use Coalition est une communauté d’organisations et d’individus engagés dans la transformation de nos façons de produire, de consommer la nourriture et la façon dont on utilise nos terres pour les hommes, la nature et le climat. Pour cela, la coalition développe des connaissances, outils et partenariats pour aider les décideurs politiques et économiques à identifier et à s’engager dans des voies de durabilité alimentaire et d’usage des terres. Ils partagent leur travail entre : plaider en faveur d’un changement rapide, aider les pays dans leur planification agricole et d’utilisation des terres ainsi que dans la refonte de leur politique et de leur marché, responsabiliser des leaders du changement dans les domaines publics, privés et de la société civile, développer des voies de transformation fondées sur la science et accélérer les mutations dans le secteur privé.

Ils ont récemment publié un rapport dénombrant 10 transitions essentielles pour transformer notre usage des terres et de la nourriture :

– Promouvoir des régimes alimentaires sains ;

– Mettre en place une agriculture intensive et régénérative ;

– Protéger et restaurer la nature ;

– Sécuriser un océan sain et productif ;

– Diversifier l’apport de protéines ;

– Réduire les pertes et déchets alimentaires ;

– Construire des boucles et réseaux locaux ;

– Exploiter la révolution digitale ;

– Apporter des moyens de subsistance plus forts en milieu rural ;

– Améliorer l’égalité des genres et accélérer la transition démographique. »

Site internet

Science Based Targets Initiative

Science Based Targets Initiative

Science Based Targets Initiative

Date de création : 2015

Type de porteur(s) : Institutions publiques, ONG ou associations.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs spécifiques à l’entreprise avec obligation de rapporter sur les progrès effectués.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, experts, recherche et académiques, organisations de la société civile, institutions publiques.

Financeur(s) ou porteur(s) : IKEA Foundation, We Mean Business, UPS Foundation et d’autres financements sur des projets spécifiques.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, finance, industrie, pollutions.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Intégration de la biodiversité.

Méthode(s) de travail : Organisation de réunions de travail, promotion de pratiques exemplaires, évaluation et approbation des objectifs des entreprises.

Description : « La Science Based Targets Initiative est issue d’une collaboration entre le CDP, le Global Compact, le World Resource Institute, WWF et un des engagements We Mean Business. L’objectif de l’initiative est que d’ici 2020, la fixation d’objectifs fondés sur la science devienne une pratique entrepreneuriale classique. L’initiative présente les entreprises qui fixent des objectifs fondés sur la science dans les études de cas, évènements et à travers les médias afin de démontrer tous les bénéfices que peuvent avoir ces objectifs. Elle définit et promeut les pratiques exemplaires dans la fixation d’objectifs fondés sur la science avec l’aide d’un Groupe Consultatif Technique. Elle met à disposition des ressources, organise des réunions de travail et offre des conseils pour enlever les barrières à l’utilisation des ressources scientifiques. Enfin, elle évalue et approuve les objectifs des entreprises de façon indépendante.

Aujourd’hui, 689 entreprises sont passés à l’action à travers l’initiative et 285 ont des « science-based targets » approuvés par l’initiative. Suite au rapport du GIEC sur les différents scénarios d’augmentation des températures et de l’Accord de Paris, ils accompagnent désormais seulement les entreprises ayant des objectifs respectant l’objectif 2°C qu’elles devront refaire valider tous les 5 ans par l’initiative. »

Site internet

Roundtable on Sustainable Biomaterials (RSB)

Roundtable on Sustainable Biomaterials (RSB)

Roundtable on Sustainable Biomaterials

Date de création : 2007

Type de porteur(s) : Entreprises, ONG ou associations.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs spécifiques au secteur d’activité (biomatériaux) avec obligation de rapporter sur les progrès effectués (à travers le système de certification).

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, experts, recherche ou académiques, organisations de la société civile, institutions publiques.

Financeur(s) ou porteur(s) : Entreprises membres.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, droits de l’homme, industries.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, conservation, restauration.

Méthode(s) de travail : Conseil aux acteurs intéressés et concernés, développement d’une certification de production durable.

Description : « La Roundtable on Sustainable Biomaterials est une organisation multi-acteurs qui tente de conduire au développement d’une bioéconomie en proposant des solutions durables, des certifications, de l’innovation et des partenariats collaboratifs. Ces solutions et certifications concernent les biomatériaux et cherchent à diminuer le risque, à alimenter la bioéconomie et à contribuer aux ODD en permettant la restauration d’écosystèmes et assurant la sécurité alimentaire. Les membres participant à la direction et au développement de l’organisation sont issus du monde de la recherche et de l’enseignement, du secteur privé et du monde associatif, ce qui leur assure de développer un outil fiable.

Ils ont développé 12 principes décrivant une façon environnementalement, socialement et économiquement respectueuse de produire de la biomasse, des biocarburants et biomatériaux. Les thèmes de ces principes sont : légalité, planification, surveillance et amélioration continuelle, émissions de gaz à effet de serre, droits de l’Homme et du travail, développement rural et social, sécurité alimentaire locale, conservation, sols, eau, qualité de l’air, utilisation de technologies, conseils et gestion des déchets, droits territoriaux. »

Site internet

New Plastics Economy Global Commitment

New Plastics Economy Global Commitment

New Plastics Economy Global Commitment

Date de création : 2018

Type de porteur(s) : ONG ou associations, institutions publiques.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs communs et spécifiques au secteur d’activité avec obligation de rapporter sur les progrès effectués.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, institutions publiques.

Financeur(s) ou porteur(s) : Ellen Mc Arthur Foundation, UNEP.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, déchets, économie circulaire, pollutions.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Océan, pollution plastique.

Méthode(s) de travail : Développement d’un engagement  détaillé  pour guider les signataires dans la réduction de leur pollution plastique.

Description : « Le New Plastics Economy Global Commitment est porté par Ellen McArthur Foundation et rassemble gouvernements et entreprises derrière une vision commune pour s’attaquer aux déchets et à la pollution plastique à sa source. Plus de 400 organisations sont signataires de l’engagement. Cette initiative a été réalisée en collaboration avec l’UNEP.

L’engagement promeut l’approche économique circulaire pour le plastique afin qu’il ne soit jamais un déchet, ne puisse pas dégrader l’environnement et porter atteinte au bon fonctionnement des écosystèmes. Les signataires s’engagent sur des objectifs à atteindre pour 2025 : éliminer tous les éléments plastiques problématiques et non nécessaires ; innover pour s’assurer que les plastiques dont on a besoin sont réutilisables, recyclables ou compostables ; faire circuler tous les éléments plastiques que l’on garde habituellement pour les conserver dans l’économie et en dehors de l’environnement. »

Site internet

International Council On Mining and Metals

International Council On Mining and Metals

International Council on Mining and Metals (ICMM)

Date de création : 2001

Type de porteur(s) : Entreprises.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs spécifiques au secteur d’activité (mines et métaux) avec obligation de rapporter sur les progrès effectués.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations.

Financeur(s) ou porteur(s) : Entreprises et associations membres (associations du secteur d’activité principalement).

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, droits de l’Homme, eau, industrie, santé.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Conservation, industries extractives, intégration de la biodiversité, restauration.

Méthode(s) de travail : Organisation de réunions et groupes de travail, publication de rapports, échange entre acteurs.

Description : « L’International Council on Mining and Metals est une organisation regroupant 26 entreprises travaillant dans le domaine minier ou du métal ainsi que 35 associations régionales ou nationales. L’organisation favorise la collaboration pour renforcer la performance sociale et environnementale de l’industrie minière et métallurgique et construire une reconnaissance de sa contribution aux communautés locales et à la société globale.

ICMM a développé 10 principes que doivent implémenter les entreprises membres. Ces 10 principes répondent :

– Aux problématiques environnementales pour s’inscrire dans un développement économique durable qui respecte entre autres la biodiversité ;

– Aux problématiques  d’éthique et de droits de  l’Homme  dans la recherche d’une amélioration des performances sociales et des conditions de travail ;

– Aux problématiques de transparence et de fiabilité de la filière. »

Site internet

Global Reporting Initiative (GRI)

Global Reporting Initiative (GRI)

Global Reporting Initiative (GRI)

Date de création : 1997

Type de porteur(s) : ONG ou associations.

Type d’engagement : Pas d’obligations.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, institutions publiques, organisations de la société civile.

Financeur(s) ou porteur(s) : L’ensemble des entreprises et organisations membres.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, comptabilité, déchets, droits de l’Homme, eau, économie, énergies, finance, gouvernance, industries, inégalités, santé.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Conservation, intégration de la biodiversité, reporting, restauration.

Méthode(s) de travail : Développement de standards de reporting pour les organisations, organisations de groupes de travail, aide aux organisations dans la réalisation de leur reporting.

Description : « La Global Reporting Initiative est une organisation qui a pour but d’aider les entreprises et les gouvernements du monde entier à comprendre leurs impacts et à les communiquer. L’initiative a développé des standards de reporting pour ces organisations concernant des enjeux essentiels comme la biodiversité, le changement climatique, les droits de l’homme la gouvernance, le bien-être social etc. Ces standards de reporting sur les enjeux de développement durable sont approuvés au niveau mondial et sont accessibles gratuitement depuis leur site internet. Dans l’optique de favoriser le reporting sur les enjeux de durabilité des organisations, l’initiative se concentre sur quatre enjeux pour les prochaines années :

– Créer des standards et conseils pour accélérer le développement durable des organisations ;

– Harmoniser le paysage du reporting sur les sujets de durabilité ;

– Mener des opérations de reporting de durabilité productives et efficaces ;

– Piloter l’usage efficace de l’information sur la durabilité des activités pour améliorer la performance. »

Site internet