Initiative 20×20

Initiative 20×20

Initiative 20×20

Date de création : 2014

Type de porteur(s) : Institutions publiques.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs spécifiques au secteur d’activité.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, experts, recherche ou académiques, institutions publiques.

Financeur(s) ou porteur(s) : 12Tree Finance, Althelia Funds, Andes Amazon Fund, AndGreen Fund, CARANA Agribusiness Partnerships, EcoEnterprises Fund, Ejido Verde, Fondo Accion, Forestry and Climate Change Fund, Kaeté Investimentos, LXG Amazon Reforestry Fund, Moringa, Nespresso Sustainability Innovation Fund, Permian Global, Pomeroon, Pomona Impact, Root Capital, SLM Partners,Symbiosis Investimentos, Terra Bella Fund, Urapi Sustainable Land Use.

Thématique(s) de travail : Biodiversité.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, conservation, déforestation, restauration.

Méthode(s) de travail : Levée de fonds et développement de projets de reforestation, restauration et d’agriculture durable.

Description : « Initiative 20×20 a pour objectif d’avoir 20 millions d’hectares de forêt en restauration en Amérique Latine d’ici 2020.

Elle a été lancée lors de la COP20 à Lima dans l’objectif de supporter l’objectif de Bonn. Elle comprend des organisations techniques, des institutions, des investisseurs privés et des gouvernements. Elle possède de nombreux partenaires financiers aidant à implémenter cet objectif. »

Site internet

Groupe de travail “Biodiversité et Économie” d’ORÉE

Groupe de travail “Biodiversité et Économie” d’ORÉE

Groupe de travail “Biodiversité et Économie” d’ORÉE

Date de création : 2005

Type de porteur(s) : ONG ou associations.

Type d’engagement : Pas d’obligations.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, institutions publiques.

Financeur(s) ou porteur(s) : Les entreprises, ONG ou associations, institutions publiques (locales ou nationales) adhérentes (environ 200).

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, économie de l’environnement, énergies, finance.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, droit de l’environnement, évolution, intégration de la biodiversité, sociologie liée à la nature, valorisation de la nature.

Méthode(s) de travail : Organisation de groupes de travail, publication de guides, développement d’indicateurs.

Description : « Le groupe de travail « Biodiversité et Économie » est animé par l’association ORÉE.

Il réunit diverses organisations (entreprises, collectivités, associations, institutions publiques ou académiques), de tous secteurs, agissant sur territoire français dans le but de faire prendre en compte les interdépendances entre la biodiversité et les activités des entreprises et organisations. Toute organisation adhérente à l’association peut participer à ces réunions. L’objectif du groupe de travail est de développer un outil d’aide à la décision permettant d’amener à une réflexion sur les liens entre transition énergétique et les enjeux biodiversité-économie. Parmi les travaux soutenus on compte l’IIEB (Indicateur d’Interdépendance des Entreprises à la Biodiversité) et trois thèses :

– « Entreprises, biodiversité et services écosystémiques : quelles interactions et stratégies ? quelle comptabilité ? » par Joël Houdet

– «  Biodiversité et stratégies des organisations : créer des outils pour gérer des interactions multiples et inter-temporelles » par Ciprian Ionescu

– « L’évaluation des interactions entre acteurs économiques et écosystèmes par l’élaboration d’un cadre d’action à l’échelle des socio-écosystèmes » actuellement en réalisation par Samia Sediri. »

Site internet

Roundtable on Sustainable Palm Oil (RSPO)

Roundtable on Sustainable Palm Oil (RSPO)

Roundtable on Sustainable Palm Oil (RSPO)

Date de création : 2004

Type de porteur(s) : Entreprises, ONG ou associations.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs communs avec obligation de rapporter sur les progrès effectués.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, organisations de la société civile.

Financeur(s) ou porteur(s) : Les entreprises et associations membres.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, climat, droit, droits de l’Homme, énergies, finance, industries, inégalités.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, compensation, conservation, déforestation, restauration, utilisation des terres.

Méthode(s) de travail : Développement d’une certification d’huile de palme durable, organisation de réunions annuelles, construction de groupes de travail et de projets sur des sujets spécifiques liés à l’huile de palme.

Description : « La Roundtable on Sustainable Palm Oil (RSPO) a été initiée par Aarhus United UK, Migros, la Malaysian Palm Oil Association, Unilever et le WWF pour que les entreprises puissent s’engager à avoir un approvisionnement durable en huile de palme. Cette organisation réunit aujourd’hui des acteurs des 7 secteurs de l’industrie de la palmiculture : les producteurs, les transformateurs ou négociant, les fabricants de biens de consommation, les banques et financeurs et des ONG environnementales et sociales. L’initiative a permis de développer un ensemble de critères sociaux et environnementaux que doivent remplir les entreprises pour pouvoir produire une huile de palme durable certifiée RSPO. Ces critères ont été définis de manière à minimiser les impacts négatifs de la culture du palmier à huile sur l’environnement et les communautés locales. La RSPO possède 4000 membres du monde entier qui se sont engagées à produire, s’approvisionner et/ou utiliser une huile de palme certifiée.

La mission de l’organisation est de transformer les marchés pour produire de l’huile de palme en :

– Accélérant la production, l’approvisionnement, la finance et l’utilisation de produits certifiés « huile de palme durable » ;

– Développant, implémentant, vérifiant, assurant et révisant périodiquement des standards globaux et fiables pour la chaîne de production d’huile de palme durable ;

– Surveillant et évaluant les impacts économiques, environnementaux et sociaux de l’utilisation d’huile de palme durable sur les marchés ;

– Engageant les acteurs tout au long de la chaîne de production, gouvernements et consommateurs inclus.»

Site internet

Natural Capital Coalition

Natural Capital Coalition

Natural Capital Coalition

Date de création : 2012

Type de porteur(s) : Institution publique, ONG ou associations.

Type d’engagement : Pas d’obligations.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, experts, recherche ou académiques, organisations de la société civile, institutions publiques.

Financeur(s) ou porteur(s) : Calouste Gulbenkian Foundation, département pour l’environnement, l’alimentation et les affaires rurales du gouvernement du Royaume-Uni, Commission européenne, Gordon and Betty Moore Foundation, IFC, MAVA, ministère de l’agriculture, de la nature et de la qualité alimentaire des Pays-Bas, Ministère des affaires étrangères des Pays-Bas, Rockefeller Foundation, Secrétariat des affaires économiques Suisse, UNEP.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, comptabilité, données, finance, gouvernance, industries.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, conservation, déforestation, indicateurs de biodiversité, intégration de  la biodiversité, océan, reporting, valorisation de la nature.

Méthode(s) de travail : Développement de projets de développement durable avec les  partenaires, élaboration du Natural Capital Protocol pour mesurer les impacts et dépendances à la nature et les relier à une valeur économique.

Description : « La Natural Capital Coalition est une collaboration internationale qui unit des initiatives et des organisations dans la vision partagée d’un monde qui conserve et améliore le capital naturel. Elle réunit près de 300 organisations (dont environ 164 entreprises) et a développé un réseau de plateformes régionales.

La coalition possède un mode de travail dans lequel la communauté propose des projets ou des travaux intéressants afin d’avoir une approche aidant à l’évaluation du capital naturel. Ce travail est ensuite proposé et mis en oeuvre par la coalition s’il s’avère pertinent. La coalition a notamment développé le protocole sur le capital naturel qui définit un cadre de décision pour permettre d’identifier, mesurer, et mettre en valeur les impacts directs et indirects des activités économiques sur le capital naturel. »

Site internet

European Business and Biodiversity Campaign (EBBC)

European Business and Biodiversity Campaign (EBBC)

European Business and Biodiversity Campaign (EBBC)

Date de création : 2010

Type de porteur(s) : ONG ou associations.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs spécifiques au secteur d’activité.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, institutions publiques.

Financeur(s) ou porteur(s) : Programme Life de l’Union européenne.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, industrie, tourisme.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, indicateurs de biodiversité, industrie extractive, intégration de la biodiversité, produits pharmaceutiques, reporting, valorisation de la nature.

Méthode(s) de travail : Développement de programmes pour les acteurs concernés, conseil sur des outils et instruments pour évaluer leurs impacts.

Description : « L’European Business and Biodiversity Campaign (EBBC) accompagne les entreprises pour intégrer la biodiversité dans la gestion des entreprises en employant des méthodes et des instruments pour évaluer leurs impacts. Elle a été lancée à l’initiative du Global Nature Fund et implémentée par différents partenaires tels qu’IUCN Europe, la Fundación Global Nature, la Fondation Lake Constance, le média ALTOP et le consultant dokeo (entreprise spécialisée dans la RSE allemande). Ils ont travaillé avec des entreprises telles que Daimler, Iberdrola, REWE, Eiffage, TUI et Vaude.

Elle a développé son principal projet Life Alimentation et Biodiversité avec le soutien du programme européen LIFE pour améliorer la performance biodiversité des standards et labels de l’industrie agro-alimentaire. Pour ce programme, l’EBBC a travaillé avec le soutien d’autorités publiques (ministère de la Transition écologique et solidaire, ministère de l’Agriculture, Région Occitanie, etc.), d’entreprises (Intermarché, continente Portugal, Nestlé, Kaufland, coopératives, etc.), des organismes de certification alimentaire et d’autres organisations telles que FairTrade International. »

Site internet

Coalition for Private Investment in Conservation (CPIC)

Coalition for Private Investment in Conservation (CPIC)

Coalition for Private Investment in Conservation (CPIC)

Date de création : 2016

Type de porteur(s) : Entreprises, ONG ou associations.

Type d’engagement : Engagement sur des objectifs communs et spécifiques au secteur d’activité.

Organisations rassemblées dans l’initiative : Entreprises, ONG ou associations, experts, recherche ou académiques, organisations de la société civile, institutions publiques.

Financeur(s) ou porteur(s) : Université de Cornell, Crédit Cuisse, UICN, Nature Conservancy.

Thématique(s) de travail : Biodiversité, eau, finance.

Thématique(s) de travail « biodiversité » : Agriculture, déforestation, océan, zones côtières.

Méthode(s) de travail : Développement de groupes de travail thématiques qui établissent des schémas directeurs d’investissement dans la conservation, connectent investisseurs et institutions financières.

Description : « La Coalition for Private Investment in Conservation regroupe des organisations de la société civile, des institutions financières publiques et privées et des universités qui travaillent afin d’augmenter significativement les investissements rentables dans la conservation. Ils cherchent donc à développer de nouveaux modèles d’investissement pour combler le manque de soutien financier dans la conservation. Cette initiative espère également pouvoir aider à atteindre les objectifs de conservation de la biodiversité et de développement durable.

Ils ont développé cinq groupes de travail qui ont pour but de développer un schéma directeur dans les cinq secteurs en question :

– Résilience côtière ;

– Conservation et restauration des territoires forestiers ;

– Infrastructures vertes et gestion des bassins versants ;

– Intensification durable de l’agriculture ;

– Pêche côtière durable. »

Site internet